• Focus
  •  

  « Les chiens aboient, la caravane passe » (vieux proverbe infosyrien)   Infosyrie a atteint vers le 1er décembre ses six mois d’âge : nous prenions les troubles de Syrie, commencés un mois et demi plus tôt, « en marche », mais nous avions, avec nos faibles moyens – Bachar ne nous arrosait pas de son pétrole pas encore boycotté – tâché de refaire notre retard. Notre moteur ? Certainement pas l’appât du gain et un tremplin de carrière médiatique, le P.M.F. (paysage médiatique français) étant ce qu’il est. Pas [...]


Mot-clefs : , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , ,

Au fait, 6 mois d’Infosyrie !

Par Droits réservés,




 

« Les chiens aboient, la caravane passe »

(vieux proverbe infosyrien)

 

Infosyrie a atteint vers le 1er décembre ses six mois d’âge : nous prenions les troubles de Syrie, commencés un mois et demi plus tôt, « en marche », mais nous avions, avec nos faibles moyens – Bachar ne nous arrosait pas de son pétrole pas encore boycotté – tâché de refaire notre retard.

Notre moteur ? Certainement pas l’appât du gain et un tremplin de carrière médiatique, le P.M.F. (paysage médiatique français) étant ce qu’il est. Pas non plus la défense inconditionnelle de Bachar al-Assad, de son gouvernement, de son régime, même si nous lui savions gré d’incarner sans faiblir un point de résistance à l’imperium américano-israélien, et d’incarner tant bien que mal une troisième voie entre le projet islamiste et l’american way of life. Une voie nationaliste arabe, quelque part entre Nasser et la résistance palestinienne. Assez éloignée du modèle qatari, si vous voyez ce qu’on veut dire….

Non, comme nous l’avons déjà écrit, dans notre éditorial inaugural, et dans l’article marquant nos trois premiers mois d’activité, notre premier ressort, ce fut la rage de subir une désinformation de type « Guerre du Golfe », la Syrie de Bachar tenant cette fois le rôle peu enviable de l’Irak de Saddam, à peu près pour les mêmes raisons, et du fait des mêmes diffamateurs. Nous avons donc foncé à trois ou quatre – Français –, avec assez de jugement ou de connaissances du Proche-Orient, de ses divisions et de ses ennemis « naturels » pour décrypter les innombrables articles à charge de nos « chers confrères » de la grande presse.

En trois mois, Infosyrie a réussi à constituer un pôle de résistance au rouleau compresseur médiatique franco-occidental, et même à devenir une référence sur le « sujet » : en témoignent les citations, mentions, allusions relatives au site au hasard des articles de l’« ennemi », celui qui édite les grands journaux. Nous l’avons déjà dit pour nos trois mois, mais c’est un peu grâce à nous que les grands médias français ont fait état des contestations sur les bilans fournis par l’OSDH, et des interrogations légitimes à propos de son peu transparent directeur Rami Abdel Rahmane.

 

Les dernières tendances de la désinformation

Les "ASL boys", très tendance depuis trois mois dans les salles de rédaction d'Occident

Les "ASL boys", très tendance depuis trois mois dans les salles de rédaction d'Occident

 Trois mois après notre premier « rapport d’activité », force est de constater que la désinformation et, osons l’expression, le « bourrage de crâne » politiquement correct sévissent plus que jamais. En France du moins, car en Grande-Bretagne, en Belgique, en Italie, et même en Amérique, des articles sont écrits et édités dans de grands journaux, qui font des analyses plus nuancées – pas difficile –, posent des questions plus dérangeantes pour le prêt à penser que leurs collègues français.

On l’a déjà dit et redit mais, tout de même, on a beau être sans illusion sur la classe médiatique française, savoir de quel alignement elle a été capable pendant deux guerres du Golfe, une guerre de Yougoslavie, et sur des pays « mal notés » comme l’Iran, la Russie, eh bien on demeure atterré par ce conformisme bien pensant, un manichéisme tel qu’au pays de Voltaire on respire l’atmosphère confinée  de la Roumanie de Ceaucescu. Comme nous l’écrivions à propos d’une lamentable émission d’Arte sur la Syrie, la France souffre d’un véritable « stalinisme bobo », qui assène ses vérités révélées, et n’organise sur ses plateaux télé que des débats consensuels.

Il serait presque amusant – enfin non pas tant que ça – d’ailleurs de dérouler le fil de cette désinformation : on y constaterait des modes. A notre premier bilan, fin août, on ne parlait pas des « déserteurs » de l’armée, et encore moins de l’ASL. Ceux-ci accèdent à un début de notoriété médiatique courant septembre, mais très vite sont « adoptés » par nos médias qui en font, sans trop vérifier la vraisemblance de leurs communiqués martiaux, des réincarnations des FFI ou des républicains espagnols. Qui permettent de jeter dans l’ombre la coloration salafiste de ces guérilléros qui crient plus volontiers « Allah o Akbar ! » que « Vive les droits de l’homme ! », et du reste se signalent par une cruauté fanatique : certaines vidéos, vite retirées de la toile, donnent la mesure, bien mieux qu’un article documenté, sur le « projet de société » que ces fous furieux de Dieu maquillés en « combattants de la Liberté » par Libé ou I-Télé réservent à la Syrie en cas de victoire.

Autre « must » médiatique relativement récent, le Conseil national syrien (CNS), sorte de front uni anti-Bachar sous franchise du gouvernement turc et de leurs protégés les Frères musulmans.

 

Menaces & bluff

Leurs Majestés pétrolières du Qatar et d'Arabie Séoudite, promues spécialistes des droits de l'homme en terre arabe par nos plus distingués analystes

Leurs Majestés pétrolières du Qatar et d'Arabie Séoudite, promues spécialistes des droits de l'homme en terre arabe par nos plus distingués analystes

Voilà qui nous amène à l’aspect diplomatique, géostratégique, de ces trois derniers mois. Tandis que la coalition euro-occidentale s’acccroche à son idée fixe, faire tomber Bachar comme un vulgaire Ben Ali, l’éliminer comme un nouveau Saddam, à coups de tentatives de résolutions au Conseil de sécurité et d’appui aux activistes armés, la Turquie AKPiste monte en première ligne, multipliant les provocations, essentiellement verbales. Et puis la Ligue arabe sort de sa prudence, voire de son néant, répète bientôt les mots, et répercute les mots d’ordre de l’Occident : le Qatar, comme en Libye, et l’Arabie Séoudite sont à la manœuvre, espérant surfer sur les vagues islamistes sunnites tunisienne, égyptienne et libyenne pour régler définitivement son compte au nationalisme laïc de la Syrie, modèle alternatif détesté par les nababs théocratiques – et proaméricains – du Golfe. Et derrière la Syrie, tout ce beau monde vise l’Iran, « Grand Satan » des Occidentaux de tout poil. Et même la Russie, et la Chine dont la montée en puissance et la synergie font peur à bien du monde.

La pression, loin de retomber, s’est donc accentuée ces derniers mois. La Syrie indépendante, antisioniste, proche de l’Iran, se heurte à une redoutable coalition d’Américains aussi impérialistes sous Obama que sous Bush jr, d’Européens complètement alignés sur l’OTAN, de pays arabes fédérés par l’or du Golfe, de sionistes israéliens et germanopratins, de Turcs en mal d’empire néo-ottoman et de l’immense armée de journalistes formatés ou engagés.

Face à ce front simultanément agressif et sournois – cf le « plan de paix »  de la Ligue arabe -, le régime syrien, que les perroquets du journalisme télévisé français présentent rituellement et quotidiennement comme « de plus en plus isolé », conserve en fait pas mal d’amis. Dans son peuple d’abord : c’est par centaines de milliers que les Syriens sont, à un rythme de plus en plus soutenu ces dernières semaines, descendus dans la rue pour tenter de rappeler au monde, et aux médias occidentaux, qu’ils existaient, et ne voulaient pas de l’alliance du chaos et du wahabisme que leur promettaient les « héros » de l’ASL et leurs employeurs non syriens. Et ça a commencé à marcher, les médias les plus alignés mentionnant plus volontiers, et même montrant, ces foules pro-Bachar ou anti-opposition.

Ensuite, la Syrie a la chance de pouvoir compter sur l’appui, jamais démenti, en dépit des ragots et des espérances de la presse atlantiste, de la Russie, de la Chine, de l’Inde, du Brésil, de l’Afrique du Sud. Et, à l’extérieur du Conseil de sécurité et des BRICS, de l’Iran, du Liban, de l’Irak, de l’Algérie, du Venezuela, de Cuba, du Nicaragua. Et partout ailleurs, de tous ceux qui refusent le prêt à penser géopolitique.

Et puis, surtout, la Syrie telle qu’elle est – et entend rester – bénéficie d’un autre puissant allié : la réalité. Car, de l’OTAN à la Turquie en passant par la Ligue arabe, c’est, une fois les menaces et les insultes proférées, toujours le même constat du « on ne peut rien faire, on ne fera rien ». A cause de la Russie et de ses navires de guerre, bien sûr. Mais aussi de l’armée et du peuple syriens, constamment mobilisés, du Hezbollah, de l’Iran, de la solidarité irakienne, ce vaste réseau de solidarité militante qui fait que la Syrie dispose d’une immense armée de réserve. Les stratèges néoconservateurs des deux côtés de l’Atlantique savent quand même qu’une guerre contre la Syrie sera une guerre régionale aux conséquences imprévisibles : les fameux Balkans de 1914 sont une sorte de Suisse en regard du Proche-Orient de 2011 ! Et les souverains opportunistes, donneurs de leçons et américano-centrés du Golfe commencent à entendre leurs oreilles siffler de la rumeur des manifestations, par un juste retour des choses. Bref, le monde arabe  est devenu un vaste et dangereux « chantier » géopolitique, et nous pensons que 2012 pourrait voir tomber d’autres têtes que celles de Bachar al-Assad…

 

Ceux qui combattent et ceux qui meurent

Hôpital militaire de Damas-Tichrine, le 5 décembre

Hôpital militaire de Damas-Tichrine, le 5 décembre

On l’a écrit récemment encore sur ce site, le seul levier dont disposent réellement les ennemis de la Syrie, ce sont ces groupes armés dont on aimerait faire des accoucheurs de guerre civile et de chaos, des fauteurs d’intervention étrangère. Infiltrés depuis la Turquie, ravitaillés en armes et en argent depuis le Liban haririste et la Jordanie hachémite, peut-être bien renforcés par des djihadistes libyens, ces vrais-faux « déserteurs » et authentique islamistes radicaux sont le cancer de la Syrie, même si leur nuisance se limite à quelque secteurs et quartiers assez circonscrits. Bab Amr n’est pas tout Homs, et Homs n’est pas toute la Syrie.

C’est le moment de rendre l’hommage qu’ils méritent aux soldats et policiers qui affrontent depuis des mois, au prix de pertes élevées, ces fauteurs de guerre civile et agents de l’étranger. A Infosyrie, nous avons eu particulièrement à cœur de signaler que ces hommes combattaient, et mourraient, pour éviter à leur pays le sort de l’Irak – ou de l’Arabie Séoudite. Nous avons été pratiquement les seuls à le faire en France. Comme nous ne nous sommes pas lassés de rappeler que la violence en Syrie était d’abord le fait de bandes armées, de provocateurs, de guérilléros urbains. Depuis deux mois environ, la grande presse ne pouvant plus nier cette violence, la maquille en légitime défense. Mais même là, des écrits discordants, trop rares encore, laissent espérer un autre son de cloche : le récent article – publié ici -, d’un Georges Malbrunot – si souvent pris à partie sur ce site – sur les vrais patrons de l’ASL est peut-être une hirondelle annonçant un timide printemps de vérité…

 

L’incontournable processus de réforme

Damas, septembre 2011 : lancement du parti d'opposition Le Courant pour l'Edification de l'Etat syrien, avec le dissident syrien Louay Hussein

Damas, septembre 2011 : lancement du parti d'opposition Le Courant pour l'Edification de l'Etat syrien, avec le dissident syrien Louay Hussein

Mais le sacrifice des soldats et policiers aura été vain si le pouvoir politique stoppe son processus de réformes. Ce processus, Bachar al-Assad a fait plus que d’en parler à la télévision, il l’a mis en pratique, via les réunions de dialogue national, sorte d’états-généraux où sont effectivement présentés des cahiers de doléances, en autorisant la création de vrais partis d’opposition, dirigés par de vrais opposants – réformistes et raisonnables – qui pourront concourir aux élections prévues pour février ; en luttant contre la corruption, en limogeant des responsables trop brutaux. Et en remettant en cause, via l’article 8, le monopole du Baas, parti unique qui a su moderniser la société syrienne. Que d’obstacles et de dangers ce président qui ne devait pas l’être a trouvé – et trouvera encore – sur sa route ! Que de résistance – et nous ne parlons pas là des groupes armés – il devra vaincre ! A ceux qui, depuis l’Occident vieilli, repu et hystérique, exigent tout et tout de suite, nous rappelons de quelle situation, nationale et régionale, a hérité ce diplômé en ophtalmologie devenu, et en ce moment ça nous semble particulièrement évident, le vivant symbole de l’indépendance arabe, la vraie.

Où en sommes nous ?

Il est temps de revenir à Infosyrie. Voici quelques nouveaux chiffres qui confirment qu’à son modeste niveau, le site est un succès.

Nous avons reçu à ce jour 211 000 visites, parmi lesquelles 90 500 visiteurs uniques. 1 352 965 pages avaient été vues au 7 décembre – ce chiffre était de 446 774 fin août. La moyenne quotidienne de fréquentation s’établit à environ 2 000 visites – un peu plus de 800 entre juin et septembre.

Bref, Infosyrie est un « mal qui s’étend », au grand dam des adeptes du politiquement correct.

Du reste il apparaît de plus en plus en tête des référencements sur Google. Et nous avons parfois la surprise de recevoir un courriel d’une sommité de la planète médiatique française, comme par exemple, le mois dernier, Olivier Galzi, journaliste-présentateur vedette d’ I-Télé.

Et puis nous avons conservé notre communauté militante de lecteurs, commentateurs et parfois collaborateurs bénévoles, heureux d’apporter leur pierre au site, qui est un peu pour eux – on excusera la métaphore arabisante – une oasis dans un paysage médiatique français un rien bétonné.

Certains de ces lecteurs méritent, par leur assiduité, d’être cités comme Mohamed et Cécilia, infatigables traducteurs de dépêches et articles « non conformes », diffuseurs de vidéos-reportages invisibles sur nos écrans. Ou encore Akyliss, Sowhat, Bwane, Stéphane, Simone Lafleuriel, L’Ingénue, No Pasaran. Leur enthousiasme, leur colère aussi les font polémiquer parfois virilement avec « notre opposition », qui se résume pour l’essentiel au binôme Syrienne libre-Etudiant, dont la mauvaise foi (mais après tout, la mauvaise foi est encore une foi) pourrait être touchante si elle ne se faisait la complice d’une gigantesque désinformation, au service des adversaires du pays au nom duquel ils parlent. Constatons en tout cas qu’à cet égard, Infosyrie est de pratique nettement plus démocratique qu’I-Télé, Le Monde ou Libération.

Nous sommes raisonnablement fiers, six mois plus tard, d’avoir tenu le cap, et d’avoir reçu la confiance et la fidélité des vrais amis de la Syrie, et suscité la curiosité de pas mal d’autres. Le combat continue. Nous croyons sincèrement qu’il évolue dans le bon sens, en dépit de la bruyante obstination de l’ennemi. Quoiqu’il en soit, nous n’allons pas nous montrer moins tenaces que les soldats syriens !

 

Vive la Syrie telle qu’elle est !

 

Infosyrie, le 7 décembre



Vous pouvez suivre les réponses à cet articles avec le flux RSS.
Vous pouvez répondre, ou faire un lien depuis votre site.

25 commentaires à “Au fait, 6 mois d’Infosyrie !”

  1. Racha dit :

    MERCI DU FOND DU COEUR MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCIMERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCIMERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCIMERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCIMERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCIMERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCIMERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCIMERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCIMERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCIMERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCIMERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCIMERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCIMERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCIMERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCIMERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCIMERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCIMERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCIMERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCIMERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCIMERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCIMERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCIMERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCIMERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCIMERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCIMERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCIMERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCIMERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCIMERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCIMERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCIMERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCIMERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCIMERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCIMERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCIMERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCIMERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCIMERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCIMERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCIMERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI ET ENCORE MERCIIIIIIIIII

    • Syrienne Libre dit :

      Comment va ton tonton garde du corps de Bachar?

      • NO PASARAN dit :

        3eb shum ya watie !

      • Cécilia dit :

        yly stahou matou !

      • Martial Canterel dit :

        Syrienne Libre : tu considère l’écrasante majorité (bien trop silencieuse hélas) des syriens qui sont opposés aux actions fratricides et suicidaires des rebelles armés comme étant des laquais du président syrien ? Quel sort tes [contre]révolutionnaires leur réservez-vous lorsque votre camp minoritaire sera imposé au peuple syrien par la force, aidé par vos maîtres du Golf persique et d’Occident ?
        J’en frémit déjà, observant le sort des femmes et des enfants de Libye, des minorités libyennes, des laïcs libyens, des hommes « de couleur » libyens. Quel sort réservez-vous à la femme syrienne? Et aux chrétiens? Et aux sunnites opposés à votre « lutte » auto-destructrice et oh combien non-patriotique ? Quel sort réservez-vous aux intellectuels et aux artistes ? aux chiites et alaouites ? et aux druzes ? et aux athées ?
        Syrienne libre ? Comment peux-tu l’être si ta liberté est financée par le Qatar et l’Arabie saoudite ? Que « vaut » une femme dans ces pays, le sais-tu seulement ?

        Va, vive la Syrie et son peuple ! Femmes et hommes, enfants et vieux, sunnite, chiite, chrétien, alaouite et non-confessionnel !

        Vive la Syrie libre avant tout ! Pas la Syrie esclave des monarchies perfides, ces empoisonneurs du monde arabe et musulman depuis des décennies.

        Fie sur toi d’encourager cette traîtrise si tu es vraiment syrienne !

        J’espère que la Syrie se réformera, et que le gouvernement un jour sera élu plus démocratiquement ! Mais jamais au grand jamais il ne faut préférer la guerre civile et confessionnelle, et/ou la mainmise étrangère sur votre beau pays !

        Une libanaise, patriote arabe, sunnite de naissance, mais avant tout une soeur humaine.

        • hadi dit :

          bien dit, bravo

        • Cécilia dit :

          Merci chère « Libanaise de naissance » et « sœur humaine » pour une vision aussi sage
          de la question syrienne.

          Mais hélas! Cette syrienne « libre », comme beaucoup de ses semblables, n’est pas prête à comprendre.

          Une certaine maturité intellectuelle lui manque, mais surtout une chose nommée « patriotisme ».

          • Rafic Aboualam dit :

            Exactement ! En Libye comme en Syrie, le jeu des impérialistes occidentaux, et de leurs chiens fidèles dans la région est de détruire le patriotisme, et le sentiment d’appartenance à la nation Arabe, en le remplaçant par le sentiment confessionnel exacerbé : quoi de plus commode pour diviser et affaiblir, dans des pays aux confessions multiples !
            Nous avons vécu en paix pendant des siècles, alors que l’Europe organisait pogrome sur pogrome, et se déchirait dans des guerres incessantes. Ces mêmes européens nous accusent d’intolérence alors que c’est la politique explicite de leurs états de semer l’intolérance dans nos pays, à l’humanisme millénaire. Nous sommes hélas faible et sans défense, à mon avis il va falloir un miracle pour sauver la Syrie. Mais je prie pour vous en Syrie.

  2. willy dit :

    Merci,

    Fidèle lecteur, je vous félicite et suis fier de vous!
    Le chemin est la vérité!
    Bonne route, en souhaitant que ce chemins résonne de nos pas de plus en plus nombreux pour la paix du peuple Syrien.
    Recevez toute mon admiration pour votre travail.

  3. Hadi dit :

    Bravo et merci
    Et vivement la fin de ces tragiques événements pour fêter la Syrie tous ensemble autour d’un bon repas SYRIEN

  4. alain dit :

    Merci in finement et bon continuation a vous tous et bravo a Infosyrie

  5. Cécilia dit :

    Mille et un mercis infosyrie pour ce travail formidable !
    Merci aussi pour tous les lecteurs infosyrie.

    Le combat pour la vérité est en marche, rien ni personne peut l’arrêter.
    Le chemin est rude mais le combat continue !

    Vive la Syrie laïque et souveraine !
    Vive les Syriens tels qu’ils sont !
    A bas les traitres et les comploteurs !

  6. Hadi dit :

    Juste par curiosité et si c’est possible de nous faire partager l’info : que voulais Olivier Galzi dans son mail ?

    • Tout simplement que nous lui obtenions, ou nous lui favorisions, un entretien avec Bachar al-Assad. Nous avons bien été obligés de lui dire que nous le voyions assez peu… Il avait été sensible aussi au fait que nous lui ayons décerné quelques lauriers pour avoir été un peu moins aligné que lue sa chaîne et l’ensemble de ses confrères…
      Amicalement, Louis D.

  7. Mohamed dit :

    Un grand merci à l’équipe de professionnels de l’administration et de la rédaction d’Infosyrie, pour leur courage, leur amour de la vérité, et leur esprit d’aventure, une aventure de ré-information, et d’écriture des pages de l’histoire contemporaine, jour après jour et semaine après semaine, une histoire qui n’intéresse pas seulement la Syrie, mais elle concerne un remodelage réel de la géopolitique régionale si ce n’est mondiale, car ce sont deux grands blocs qui se confrontent, l’un en déclin comprenant Washington, l’Europe, la turquie et les pays du Golf (et au coeur de ce bloc Israel), et l’autre, montant, comptant la Chine, la Russie, l’Inde, le Brésil, l’Afrique du Sud, les pays d’Amérique latine, (autour du noeud de résistance Syrie, Iran, Irak, Liban, Hamas), et qui seront, il y’a de fortes chances, rejoints par d’autres pays, pesants, arabes et islamiques. D’un point de vue démographique qu’économique, c’est de loin plus de la moitié du monde qui se trouve du côté de l’axe syrien. Alors qu’on cesse de falsifier la réalité : les états unis et l’Europe ne représentent pas la « communauté internationale », ils représentent tout simplement l’occident impérialiste, néo-colonialiste, la majorité est plutôt du côté des autres pays « BRICS-ALBA-Résistance ». La protection des civils ? C’est faux c’est la guerre sous prétexte de la R2P. C’est tuer des dizaines de milliers, des centaines de milliers sous fausse couverture des droits de l’homme. Mais quel Homme ?
    En remerciant, les officiels d’Infosyrie, je tiens à féliciter ce que j’appelle volontiers la communauté d’infosyrie, qui ne se lasse d’apporter sa contribution, très louable, en commentant, en partageant des informations souvent fraîches et riches, par des liens d’articles, parus sur d’autres médias français ou francophones, des liens de vidéos, et des traductions d’articles. Pour un peu, je dirais qu’Infosyrie est une véritable communauté, et en passe de devenir une vraie école médiatique et politique. Rien d’étonnant, alors, a voir la cote d’infosyrie en croissance.
    Un très bon point aussi, pour infosyrie, c’est la liberté d’expression, on ne risque pas de dire qu’à Infosyrie, on censure : toutes les opinions ont leurs places et c’est à la dynamique infosyrienne de distinguer la graine de l’ivraie.
    Une note personnelle, je dédie la chaîne « tamadonte » sur youtube à la communauté infosyrienne.
    Merci à tous et du fond du coeur.

    • NO PASARAN dit :

      Merci Mohamed ! Et je partage totalement ton opinion quant au remodelement du monde… J’ai vraiment l’impression qu’on est à un tournant, cette histoire sur la Syrie (dans le jeu global de domination de la région) conjugué à la crise mondiale. C’est le chant du coq de l’impérialisme occidental…

  8. NO PASARAN dit :

    Merci à toute la famille d’Infosyrie ! Les premiers mois étaient très durs moralement (par rapportaux réactions des gens en Europe, lorsque nous leur écrivions ce qu’il se passait réellement ; le moral entre Syrien ayant toujours été bon), sans vous !

  9. Akyliss dit :

    Merci beaucoup à Infosyrie et les intervenants sur les articles.

  10. BWANE dit :

    Je remercie à mon tour Infosyrie pour son combat pour rétablir la vérité sur les événements en Syrie, ainsi que tous ses lecteurs sincères.

  11. Syrion dit :

    Grand MERCI à Infosyrie. Oui, le chemin de la vérité est rude. Il sera rude et long pour nous, syriens. Car, nous sommes sensés de reconstruire notre pays.

    Vive la Syrie laîque et libre.

  12. Marie dit :

    Chapeau bas à tous ceux dont que le combat pour la vérité honore et qui redonnent à tous les opprimés/manipulés de l’Histoire le droit à la dignité.
    Tous ceux qui meurent sans comprendre pourquoi dans les guerres dont on ne voit jamais les vrais bénéficiaires, autant de buveurs de sang cachés derrière les idiots utiles.
    Je ne sais pas ce qu’a dit Olivier Galzi mais j’espère qu’il a eu le courage de la recherche de la vérité.Il me semble que cette vérité est d’autant plus difficile à admettre qu’elle nous déstabilise et remet en questions nos croyances( c’est encore une question de foi)et quand la vérité rejoint la justice,il ne faut pas la craindre mais la chercher sans relâche.
    encore merci

  13. Gallus dit :

    Bravo pour votre travail, je suis moi-même enragé de voir le parti-pris et l’ignorance des médias

Commenter Gallus