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Nicolas a 29 ans. Avec son épouse et leur très jeune enfant, ils se sont établis, pour raisons professionnelles, à Damas voici six mois, début avril, soit trois semaines environ après le début des troubles en Syrie. Quelque 180 jours plus tard, à l'occasion d'un bref retour à Paris, il nous donne ses impressions qui, précise-t-il, concernent essentiellement Damas et la ville archéologique de Palmyre (près de la frontière irakienne). En six mois, ce jeune homme, dont ce n'est pas [...]

"Ca peut paraître paradoxal à un Français de France qui voit le pays comme au bord de la guerre civile, mais, désolé, on se sent beaucoup plus en sécurité à Damas qu'à Paris"

"C'est d'ailleurs parce que tout ce qu'on nous raconte à ce sujet est faux que ma femme et moi retournons dès demain à Damas avec notre bébé. La Syrie, ce n'est absolument pas l'Afghanistan, ou même l'Irak !"

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Atmosphère : un expatrié français nous raconte ses six mois de séjour à Damas

Par Louis Denghien,



Damas

Nicolas a 29 ans. Avec son épouse et leur très jeune enfant, ils se sont établis, pour raisons professionnelles, à Damas voici six mois, début avril, soit trois semaines environ après le début des troubles en Syrie. Quelque 180 jours plus tard, à l’occasion d’un bref retour à Paris, il nous donne ses impressions qui, précise-t-il, concernent essentiellement Damas et la ville archéologique de Palmyre (près de la frontière irakienne). En six mois, ce jeune homme, dont ce n’est pas le premier séjour syrien, a eu en effet le temps de se forger une opinion, d’avoir une vision de ce pays et de son peuple, vision assez éloignée, on le verra, du tableau sinistre qu’en donnent les médias français.

La mosquée des Omeyyades, près de laquelle vivent Nicolas, sa femme et leur bébé

La mosquée des Omeyyades, près de laquelle vivent Nicolas, sa femme et leur bébé

-Infosyrie : Nicolas bonjour. Peux-tu, pour commencer, nous rappeler dans quelles circonstances tu as entrepris ce voyage et cette installation en Syrie, et d’ailleurs était-ce ton premier voyage ?

-Nicolas : Non, j’avais 8 ans quand j’ai effectué mon premier voyage en Syrie. J’avais du reste visité également, à cette occasion, la Jordanie et le Liban. J’ai de la famille en Syrie, et au Liban. Depuis j’ai dû faire, jusqu’à aujourd’hui, une quinzaine de voyages tant en Syrie qu’au Liban et en Jordanie. J’ai commencé assez jeune à m’intéresser à ce pays et, au-delà, à la culture arabe. J’ai toujours voulu travailler au Proche-Orient : d’abord je me voyais en ambassadeur de France , et puis… (rires)

-IS : En ce qui concerne ton dernier voyage, il s’agit carrément d’une installation, professionnelle et familiale… Comment avez-vous pris cette décision ?

-N : Nous sommes arrivés à Damas le 9 avril 2011. J’avais décidé avec ma femme de partir là-bas pour ce que je connaissais déjà de la qualité de vie, de l’accueil des gens, du climat, et ce malgré tout ce que pouvaient dire les journaux français de la situation sur place…

-IS : Car, encore une fois, tu arrives trois semaines après le début des troubles…

-N : Oui. Mais à notre arrivée, je n’ai pas vraiment constaté de changements par rapport à ce que j’avais pu voir dans mes précédents voyages. Je connaissais l’atmosphère des rues et de certaines villes du pays. Et je n’ai pas vu, cette fois, plus d’hommes en armes que d’habitude, pas de tension perceptible dans la rue – je parle pour Damas. A part un voyage de quatre jours à Palmyre, nous avons peu bougé de Damas. Nous ne sommes pas rendus sur le littoral, à Lattaquié ou Tartous, car on nous avait dit qu’il y avait des risques d’agression, non pas dans ces villes, mais sur la route y menant. Mais donc je peux parler de Damas, et accessoirement de Palmyre.

-IS : Et donc, six mois de Damas, qu’est-ce que ça donne ?

-N : Ca donne qu’on a entendu, bien sûr, parler de certaines rumeurs de différentes manifestations, pro ou anti-Bachar. Mais en ce qui concerne ce que nous avons vu de nos yeux, ce sont deux ou trois manifestations d’opposants qui regroupaient à chaque fois, au grand maximum, une centaine de personnes. Quant aux manifs pro-Bachar, j’en ai vue une qui se déroulait sur toute l’étendue de l’autoroute de Mezzeh, du moins le tronçon qui traverse de part en part Damas (il faut imaginer une avenue des Champs-Elysées qui serait en même temps une autoroute à plusieurs voies ! Ndlr) : il y a avait une foule immense, avec un drapeau long, je crois de 3 kilomètres et demi, et qui n’était pas du tout encadrée par quelque force policière ou politique que ce soit.

-IS : Au fait, tu parles arabe ?

-N : Un petit peu, et de mieux en mieux au fur et à mesure que mon séjour se prolonge. je l’apprends « sur le tas », au fil de mes contacts. Je le comprends globalement assez bien. Mais pas mal de Damascènes parlent anglais. Sinon, ce que nous pouvons observer quotidiennement – je précise que nous habitons le quartier chrétien de Bab Touma, au sud-est de la ville, non loin de la mosquée des Omeyyades – c’est que les Damascènes sont vraiment très accueillants, comme ils l’ont toujours été. On n’a jamais constaté d’animosité envers la France et les Français. On prend le taxi tous les jours, et les chauffeurs de taxi ne s’en sont jamais pris à nous, tout au plus ont-ils eu, le temps d’une course, quelques mots contre Sarkozy.

-IS : Mais on imagine que les Damascènes parlent des événements, ou bien est-ce qu’on exagère en Occident la place de ces mêmes événements dans la vie de tous les jours ?

-N: Oui et non. On ne parle pas ouvertement, et encore moins dans la rue, de la situation. On l’évoque en revanche chez soi. Mais ça crée des tensions car certaines personnes, pour diverses raisons, comme certains commerçants ou hommes d’affaires, préféreraient que le régime saute, tandis que d’autres croient toujours en Bachar et son régime. Mais la plupart des gens à qui j’ai pu en parler associent le régime et la sécurité. C’est d’ailleurs une des raisons pour lesquelles nous avons, ma femme et moi, décidé de nous installer en Syrie. Ca peut paraître paradoxal à un Français de France qui voit le pays comme au bord de la guerre civile, mais, désolé, on se sent beaucoup plus en sécurité à Damas qu’à Paris. Moi je n’ai aucune appréhension à laisser ma femme avec notre fils de six mois dans les rues de Damas, alors que j’aurais une inquiétude certaine si elle se baladait seule à Paris ou en banlieue, dans le métro ou le bus.

Une belle américaine reconvertie en taxi damascène

Une belle américaine reconvertie en taxi damascène

-IS : Il n’y a pas de délinquance urbaine endémique comme chez nous ?

-N : Absolument pas. Et encore maintenant : nous n’avons jamais vu la moindre bagarre de rue en six mois dans cette grande ville de 2 millions et quelque d’habitants.

-IS : Est-ce qu’il y a une présence policière ou militaire évidente ?

-N : Il y en a toujours eu, autour des ambassades et des lieux administratifs sensibles. Mais, croyez-moi ou non, on ne voit pas de patrouilles militaires du type « Vigie Pirate » comme en France.

-IS : Mais vous vous êtes rendus à Palmyre. Avez-vous constaté le même calme sur place, ou pendant le trajet, ou avez-vous noté, au contraire, des signes de tension ?

-N: Je précise que Palmyre est à 4 heures et demie de route de Damas, en direction de l’Irak et de l’est. On rencontre un check-point sur la route, à l’aller, et re-belote au retour. Nous voyageons par bus, au milieu des Syriens « de base », ce qui nous permet d’avoir un regard autre, plus vrai, sur le pays. Aux check-points, voyageurs et policiers voient bien que nous sommes français, mais tout se passe bien. On a même droit à des sourires et on nous dit « Soyez les bienvenus ». Les Syriens avec qui nous avons parlé en ces circonstances nous prenaient même à témoin de ce qui se passait vraiment sur place, c’est-à-dire pas du tout la guerre civile larvée qu’on nous décrit ici.

-IS : Mais, à ce propos, vous avez pu ressentir les fameuses tensions communautaires souvent évoquées en France ?

-N : J’avoue ne pas m’être particulièrement intéressé à cette dimension de la société syrienne. Je ne suis pas moi même quelqu’un de religieux. Je m’intéresse, en termes de culture et de société, à la religion musulmane. Mais je n’ai pas été sensible, sur place,aux implications sociales et politique des questions religieuses.

-IS : Mais si l’on devait résumer : en six mois, à Damas, tu n’a pas perçu cet état de pré-guerre civile qu’on nous dépeint à longueur de temps en France ?

-N : Je l’ai perçu, mais uniquement par le matraquage médiatique que font les chaînes françaises reçues à Damas, comme France 24, TV5 ou Euronews. Ou bien encore via les magazines européens qu’on trouve sans problèmes. Mais quant à ce que je vois tous les jours, non absolument pas. Je ne ressens aucun climat de tension ou a fortiori de terreur. Et quand j’entends ce qu’on dit à ce propos à Paris, ça me semble complètement aberrant !

C’est d’ailleurs parce que tout ce qu’on nous raconte à ce sujet est faux que ma femme et moi retournons dès demain à Damas avec notre bébé. La Syrie, ce n’est absolument pas l’Afghanistan, ou même l’Irak !

-IS : Vous avez des contacts avec d’autres membres de la communauté française de Damas ?

-N: Quelques uns. Beaucoup ont été, entre guillemets, invités par le gouvernement français à rentrer au pays, mais il reste encore beaucoup de Français à Damas, il s’agit souvent, il est vrai, de familles mixtes franco-syriennes. Et les enfants de ces familles vont normalement à l’école. Et je précise, pendant que j’y suis, que nous ne sommes soumis à aucun couvre-feu le soir venu.

Dames de Damas...

Dames de Damas...

-IS : Damas est une ville assez occidentalisée, avec des femmes vêtues à l’européenne, une vie nocturne… ?

-N : Bien sûr, night-clubs et bars abondent à Damas ; je connais, entre autres, le See Bar, le Marmar. On y consomme de l’alcool sans plus de restrictions qu’en France, avec plus de discrétion, évidemment, en période de ramadan. De ce point de vue, on n’est pas en Arabie Saoudite. Il y a quand même une ouverture d’esprit en Syrie, sans doutes due à l’orientation laïque du régime, et à la libéralisation initiée depuis une dizaine d’années par Bachar.

Il semble ici chez lui...

Il semble ici chez lui...

-IS : Justement, tu as causé de Bachar al-Assad, de sa personnalité sinon de son régime, avec des Syriens ?

-N : Oui, j’en ai parlé un petit peu. On a d’ailleurs évoqué aussi bien le père, Hafez, que son fils. Je dirais que les avis sont mitigés, parce que forcément, différents intérêts, différents vécus interviennent dans cette perception. La plupart de mes interlocuteurs sont quand même satisfaits du régime et ce qu’il a fait, ou de ce qu’il garantit. Là encore, aucun rapport avec ce qu’on nous raconte en France. Bien sûr, certains sont agacés ou las d’une situation qui ne semble aller, depuis sept mois, ni dans un sens ni dans l’autre. Mais en règle générale, à Damas, les gens sont pro-gouvernementaux, et apprécient globalement la façon qu’a Bachar de gérer le pays.

-IS : Bachar a donc une équation personnelle plutôt bien perçue…

-N : Absolument. Bien sûr, comme partout, comme en France, il y a du mécontentement, des impatiences. Il y a des choses à faire, mais on pense généralement, à Damas, en tous cas, que Bachar pourra les faire.

Une rue du vieux Damas : pas beaucoup de touristes pour l'arpenter, en ce moment...

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-IS : L’attitude des pays occidentaux a des effets sensibles sur l’économie locale, notamment le secteur touristique ?

-N : Oui, malheureusement. La plupart des touristes occidentaux suivent les recommandations des agences, des tour operators, et des ambassades. J’ai pu le constater à Palmyre, ville antique qui vit essentiellement du tourisme : la plupart des hôtels et commerces sont fermés. C’est vraiment une ville morte au niveau économique.

Palmyre : ses ruines antiques incomparables, et délaissées pour cause de pressions étrangères

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-IS : Mais y a-t-il un tourisme arabe en Syrie ?

-N : Oui. Beaucoup d’Iraniens et de Turcs – musulmans sinon arabes – des Jordaniens, des Libanais. Mais les touristes à devises sont d’avantage représentés par le Qatar, l’Arabie Saoudite, ou, bien sûr, des Libanais.

-IS : En termes de consommation, un  Occidental est-il dépaysé en Syrie ?

-N : On peut trouver de tout à Damas. Mais il y a une gêne, notamment pour le commerce, du fait que les Américains ont interdit l’usage en Syrie des cartes de crédit et de paiement Visa ou American Express. Ca veut dire qu’on ne peut plus payer par carte à Damas, que ce soit dans une boutique oui dans un restaurant. Et bien sûr, ce n’est pas du tout le régime qui est gêné par de telles mesures, ce sont les Syriens « de base ». La classe des hommes d’affaires et des bourgeois est particulièrement affectée par ça.

L'ambassade de France : pas la meilleure vitrine du pays en Syrie, ces derniers temps...

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-IS : En tant que Français, vous avez des contacts avec l’ambassade ?

-N : On s’est fait référencer à l’ambassade « au cas où », mais nous n’avons jamais été contactés par elle, en sept mois.

-IS : On trouve des journaux, des livres, des dvd français ?

-N : Oui, on trouve les principaux quotidiens – Le Monde-Le Figaro-Libération et même Le Parisien. Des livres aussi. En ce qui concerne les dvd, il y a un assez grand choix dans les grands magasins de Damas. Mais il y a beaucoup de copies pirate, la loi syrienne étant assez souple en ce domaine.

-IS : Au fait, et compte tenu de tout ce que tu viens de nous dire, comment vont tes affaires à Damas ?

-N : Comme je travaille dans l’hôtellerie et la restauration, je vous laisse imaginer ! A Damas, je suis essentiellement un homme au foyer, qui attend des jours meilleurs. D’autant qu’étant étranger, j’ai plus de difficultés à trouver une place dans un restaurant qu’un Syrien. Ma femme, elle, travaille dans une école. Pour elle, tout va bien.

-IS : Si d’un mot, après sept moins d’immersion à Damas, tu devais résumer ton sentiment sur la Syrie et les Syriens, quel serait-il ?

-N : En un mot, c’est difficile. Mais je trouve vraiment, pour m’en tenir à Damas, que ses habitants sont très ouverts d’esprit, à l’écoute d’un avis extérieur. Il sont très accueillants, chaleureux, avec le coeur sur la main. C’est vraiment une mentalité que j’apprécie, et c’est pourquoi je vais éduquer mon fils dans ce climat psychologique. Je ne regrette pas, malgré les difficultés momentanées, de m’être établi en Syrie, et ma femme non plus.

-IS : Nicolas, merci et bon voyage !

Scène de genre au souk de Damas

Scène de genre au souk de Damas

(Entretien réalisé dans l’après-midi du 14 octobre. Notre interlocuteur repartait le soir même, avec son épouse et son enfant, pour Damas.)



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56 commentaires à “Atmosphère : un expatrié français nous raconte ses six mois de séjour à Damas”

  1. Alexandre dit :

    Qui est ce Nicolas dont les réponses millimétrées semblent tout droit sorties du cerveau d’un propagandiste du régime Assad ? Comme un faux billet de banque grossièrement imité et qui ne trompe personne.
    Vous faites pitié avec votre site, vos « infos » fabriquées et votre mauvaise foi.
    Pourquoi ne pas dire qui vous êtes au lieu de vous réfugier derrière un site Web ?
    Manque de courage bien entendu comme tous les « partisans » d’un régime fini et qui préfèrent s’exprimer au nom de prétendues interviews.

    • Akyliss dit :

      Qui est ce Alexandre dont les réponses millimétrées semblent tout droit sorties du cerveau d’un propagandiste anti-Bachar ? Comme un faux billet de banque grossièrement imité et qui ne trompe personne.
      tu fais pitié avec ton commentaire, tes « infos » fabriquées et ta mauvaise foi.
      Pourquoi ne pas dire qui tu es au lieu de te réfugier derrière un prénom ?
      Manque de courage bien entendu comme tous les partisans d’une Syrie sous contrôle occidental et qui préfèrent s’exprimer sur la base des vidéos fabriquées et la propagande occidental et israélienne…

    • shezar dit :

      LOL demanderiez vous la meme chose aux membres de la syrian revolution facebook page???je crois pas

    • Etudiant dit :

      Je ne serai (pour une fois) pas aussi sévère.
      Nicolas ne parlant peu politique mais parlant de Damas, son témoignage est intéressant.
      On voit bien que Damas-centre est calme c’est vrai.

      • lafleuriel Zakri dit :

        Et Alep était tout aussi calme et tranquille y compris tout autour ;mon amie avec ses enfants est de nouveau allée en Turquie et envisage d’y retourner ;;les gens de ma famille sont allés comma avant dans leur maison de la montagne à Slunfé. Nous leur parlons au moins deux fois par semaine et ils ne se plaignent de rien ! Tout va comme d’habitude dans leur vie quotidienne sauf qu’il fait encore chaud mais les prix n’ont pas augmenté.Il faut dire qu’ils sont des gens modestes dans leur train de vie et comme beaucoup de Syriens de mes amis ;par contre mesamis franco syriens rouspètent fort contre les Américains qui leur volent leur argent en refusant de débloquer leurs cartes bancaires;;plus de transactions avec leur carte;Et moi, je trouve que comme d’habitude c’est ignoble.d’ici il faut par exemple payer ses billets d’avion en liquide ;mais ils se mêlent de quoi ces clowns. Et ne vous avisez pas de les défendre Etudiant où je vous tape sur la tête avec le plus grand de mes parapluies…Eux, je les déteste.

      • Cécilia dit :

        « Nicolas ne parlant peu politique mais parlant de Damas, son témoignage est intéressant.
        On voit bien que Damas-centre est calme c’est vrai. »

        Enfin, une petite vérité Etudiant!

        Cependant, Nicolas a parlé de Palmyre, capitale de notre grande reine, Zénobie qui a tenu tête à l’empire romain. Plusieurs armées romaines n’arrivaient pas à résister devant elle au point que l’empereur en personne, Aurélien est venu en personne à la tête de son armée pour vaincre une femme! Mais une SYRIENNE, cher Etudiant!

        Alors mon cher, il faut aussi cracher le morceau!

        J’espère que vous avez bien étudié l’Histoire de la Syrie qui montre clairement que ces Occidentaux, changeant chaque fois de masque, n’ont jamais laissé ce beau pays en paix!

        Cécilia fièrement syrienne!

    • Bahia dit :

      ….. D’un régime fini ???? N’avez vous pas vu les photos de manifestations de soutien ??? et même ohhh miracle… la grande presse américaine réalise tout d’un coup que le peuple syrien soutien d’une façon magistrale son président !

      Dommage pour vous, mais ce Nicolas dit vrai. Je suis allée à Lattakya et Tartous en septembre dernier, je n’ai eu qu’un contrôle militaire sur la route. Les terrasses de « Tartous by night » étaient remplies de jeunes gens. J’ai même mangé un délicieux mazza à Banya ou paraît il, la ville était à feu et à sang. Il y avait, je vous l’accorde, quelques rues à éviter comme dans certaines régions françaises….
      Cessez donc de lire Infosyrie, vous allez vous faire du mal !!!

    • Cécilia dit :

      Et qui est cet Alexandre dont les propos millimétrés semblent tout droit sorties du cerveau d’un propagandiste des opposants apprentis révolutionnaires ? Comme un faux billet de banque grossièrement imité et qui ne trompe personne.

      Vous faites pitié avec vos propos et votre mauvaise foi.

      Manque de courage bien entendu comme tous ces apprentis révolutionnaires qui ne savent sur quel pied danser pour admettre que ce site vous trouble car la vérité est difficile à avaler!.

      Mais êtes vous ?

      Vous n’avez aucune identité propre à vous.
      Qui est votre guide politique ou spirituel?
      Tantôt, c’est avec ARROUR,
      Tantôt avec BHL,
      Tantôt avec Erdogan,
      Tantôt avec Hariri,
      Tantôt avec Obama,
      Tantôt avec Hamad ou Bandar.

      Du calme, Alexandre!

      Ce site vous dérange? J’en suis ravie!

    • CNT dit :

      Qui est ce clone auto-proclamé Alexandre (excusez du peu) dont les réponses grossières semblent tout droit sorties du cerveau sioniste de Botul ? Comme une marchandise avariée mais bien achalandée ne trompe personne à cause de l’odeur pestilentielle qu’elle répand partout.
      Vous faites pitié, clone raté et produit à la sauvette aux lecteurs sérieux mais indulgents d’Infosyrie. Allez ailleurs vomir votre fiel venimeux.

      • CNT dit :

        J’ai dans ma sortie anti-alexandrine, oublié de remercier Infosyrie et Nicolas pour ce témoignage précieux.

        • Souriya ya habibati dit :

          Mon cher CNT, votre tirade sur les clones chantant sur infosyrie « le charme discret de la démocratie façon OTAN » a réveillé un MacMaster dormant.. qui s’était illustré dans le temps par un pseudo lovesyrie converti en lovedamascus au présent..Pensez-vous que c’est syrieux tout ça?! Heureusement que la Syrie réelle n’a que faire de tous ces « amoureux » aux coeurs candides infestés de talibans avides de massacres et de sang, pour faire propager leur projet « civilisationnel » façon OTAN.
          Damas a dit son mot mercredi dernier et mercredi prochain ce sera au tour des Alépins pour manifester leur AMOUR de la Syrie et leur FIDELITE au Président! Allah Souriya Bachar wbass, mahma ‘awat al kilab.

          • CNT dit :

            Chère Souria ya habibati, ce clone a reçu la réponse « cénétiste » qu’il mérite, qui a du le replonger dans sa torpeur habituelle. Il faut de temps à autre bâtonner nos Minuscules Minus,car les fronts de ces désinformateurs sont incapables de rougeur.

          • CNT dit :

            Mercredi dernier, il y avait un million de syriens dans les rues de Damas…La C.Q prétend que c’est la menace d’une peine de prison qui a obligé tous ces citoyens syriens d’aller manifester leur vif soutien au régime ; donc, étant donné que Damas compte environ cinq millions d’habitants, le « sanguinaire régime de Bachar Al-Assad » a du emprisonner quatre millions d’habitants de cette ville. voilà un échantioon des raisonnements boiteux de nos contradicteurs. Misère de la soi-disant opposition.

    • joujou dit :

      quelle connerie, c’est vous ne vopulez pas croir vous etes libre, mais il faut respecter l’avis des autres et leurs opinions. la syrie est bien et elle le restera.
      ce n’est pas couraguex de parler de la syrie de loin. Nicolas c’est qq qui est sur place et il est capable de dcrire la situation autour de lui. Par contre qq qui n’est surplace et il se permet de critiquer sans fondement c’est pas acceptable.
      vive la syrie

    • sowhat dit :

      « Pourquoi ne pas dire qui vous êtes  »

      dites-le vous-même puisque vous avez l’air au courant

  2. Souriya ya habibati dit :

    Que c’est bon de sentir le parfun du jasmin dans les ruelles de Damas, zahret elyassamine tant chantée par le grand poète Nizar Qabbani.
    Allah yehmi Souriya.

    • Hadi dit :

      tu m’etonne, je suis jaloux de Nicolas … moi aussi je veux aller en Syrie pour raison professionnelles

      • Souriya ya habibati dit :

        Il ne faut pas hésiter d’y aller, la Syrie et ses splendeurs s’ouvriront à vous sans retenue.. il vous suffirait de remplir votre sac de voyage d’un brin d’amitié et d’un désir sincère de comprendre par-delà tous les préjugés « cultivés » actuellement contre mon cher pays.. La 7ème photo de l’article me plaît beaucoup.. elle ressemble à d’autres ruelles du vieil Alep, et notre AMIE Lafleuriel Zakri pourrait nous en parler.. Ce que je voudrais surtout est que vous éprouviez dans votre chair.. ce sentiment de SECURITE qui envahit le promeneur.. à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit.. A la bonne heure Hadi.

        • Hadi dit :

          J’aime me promener dans les ruelles de Damas, bab touma et le souk;
          mais malheureusement je ne peux pas y allez cette année. Mon dernier voyage date de 2009, ca fait deja loin. Et j’y suis aller avec ma femme, d’origine marocaine, c’etait son premier (et pour l’heure unique) voyage en Syrie. Elle a été emerveiller de decouvrir la Syrie. Selon elle il y a des airs, des senteurs des milles et une nuits, elle ce sentait vraiment en orient, rien a voir avec le Maroc ou les autres pays du Mahgreb

        • lafleuriel Zakri dit :

          je vais vous en reparler très bientôt et in situ…

  3. Souriya ya habibati dit :

    Ah oui j’ai oublié, la boisson de ‘araq souss vendue dans les rues est très désaltérante en été; pour ceux qui ne connaissent pas parmi les pseudo-syriens cyber-opposants.. c’est une boisson faite à base de reglisse MAIS attention, ceux qui n’aiment pas la Syrie tombent raides en la goûtant..
    Je t’aime ma chère Syrie, que Dieu te protège de tout mal.

  4. gabriel dit :

    merci pour cette article vive la syrie

  5. Souriya ya habibati dit :

    Il est franchement sympa « Le Petit Nicolas » que vous nous présentez! Vive la France et les Français qui aiment la Syrie. Allah Souriya Bachar wbass.

  6. stephane dit :

    beaucoup de français notamment mes profs à l’écoles française de Damas avaient décidé de rester en Syrie après la fin de leur mission, en acceptant même de perdre uen partie de leur salaire comme ils n’étaient plus expatriés.

  7. Syria dit :

    pourquoi être septique c’est vraiment se qui se passe à Damas et à Alep déjà et dans plein d’autres endroits de Syrie donc bien plus de la moitié de la population sont d’accord avec les réformes proposées et on confiance que le président peut les mener à bien

  8. Gandalf dit :

    Vivant à Damas, je confirme en tous points les propos de ce Nicolas.

    Il y a cependant des échauffourées dans certains quartiers de la banlieue damascène, généralement quartiers pauvres et influencés par les prêches belliqueux du vendredi.

    Le plus souvent pourtant, on assiste à des manifestations de quelques dizaines de personnes (vraiment pas davantage), qui durent 10 à 15 minutes, le temps de faire des clichés en gros plan (monnayés) et qui partent nourrir les rédactions d’Al Jazeera et consort.

    • Souriya ya habibati dit :

      La télé syrienne a montré hier un petit reportage à la sortie d’une mosquée après la prière du vendredi où il y avait 3 types qui filmaient avec leurs portables et un « chef » qui allait et venait distribuant les mots d’ordre..c’était très amusant à voir!
      Souriya Allah hamiha wu Bachar Al-Assad ra’iha.

  9. Candide dit :

    Témoignage intéressant que je n’ai pas déraison de remettre en cause.

    • CNT dit :

      Bientôt les clones nous sortiront  » un dictionnaire de la déraison dans les arts, les sciences et les métiers de la désinformation sur la Syrie ». D’aprè mes informations, cet opus, sera préfacé par le Très Grand Alexandre. Les articles les plus importants (quant à leur « vitesse »,i.e le nombre de mensonges par phrase) de cet ouvrage,-destiné à rectifier l’opinion des naïfs rédacteurs et lecteurs d’Infosyrie sur les événements en cours en Syrie-, ont été rédigés,-contre espèces sonnantes et trébuchantes-,par divers illustres syriens libres (de respecter la vérité des faits),- aussi bien du sexe femelle que mâle-, des étudiants si modernes et si au fait de la situation en Syrie qu’ils vont jusqu’à prôner l’analphabétisme et la défense (oblique, certes) des hyper-démocrates connus dans notre vallée de larmes sous le nom de Frères Musulmans, ainsi que par un dénommé Candide,-par anti-phrase, disent certaines sources bien informées des tenants et aboutissants de cette méritoire,-du moins aux yeux de l’Otan et d’Israël-, entreprise.

      • CNT dit :

        Il faut saluer nos modernes encyclopédistes d’un genre un peu spécial !

        • CNT dit :

          Un D.V.D produit par la C.Q sera gracieusement offert aux acheteurs de ce dictionnaire, ainsi qu’une croisière d’une semaine,-avec obligation d’assister aux conférences gratuites de Botul, étant entendu que toute tomate ou autres projectiles(œufs, chaussures,…)sont interdites de port lors de ces conférences-, qui amènera les malheureux voyageurs, de Doha à Médine, en passant par Benghazi,pour y admirer le charme discret de la démocratie.

      • Candide jamais content dit :

        Décidément, j’ai beaucoup de mal à comprendre ce que tu écris.

  10. CNT dit :

    Voici ce qu’affiche mon ordinateur que j’ai la mauvaise idée d’aller voir ce que raconte Adounia ;
    ups ! Petit problème… Ce lien semble brisé.
    Suggestions :

    * Accédez à une copie en cache de la page http://www.­addounia.­tv/­web/­main.­php.
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    Les lecteurs de ce site peuvent-ils m’en dire plus ? Je signale à ce propos que Press-TV vient d’être interdite de diffusion e, petite-Bretagne.

  11. CNT dit :

    ERRATUM : 1) lorsque j’ai la mauvaise…
    2)en Angleterre.

  12. lovedamascus dit :

    Bachar a le contrôle total sur Damas? Alhamdulillah! Pour ceux qui veulent savoir comment cette stabilité apparente est rendue possible: http://videos.arte.tv/fr/videos/syrie_dans_l_enfer_de_la_repression-4194984.html

    • CNT dit :

      On connait sur ce site la véracité des soi-disant lesbiennes et autres loves. Vous êtes pitoyables. Broutez en paix. .

    • Cécilia dit :

      Et pour avoir une opinion objective sur votre reportage d’ARTE, voilà la réponse:

      http://www.infosyrie.fr/decryptage/soiree-arte-sur-la-syrie-deux-heures-de-stalinisme-bobo/

      Bonne lecture cher lovedamascus

      Cécilia, une fille de Damas

      • lovedamascus dit :

        Cecilia, J’ai lu cet article et je sais quoi en penser, alors prenez le temps de regarder cette vidéo arte avec un regard critique (comme il faut regarder tout reportage) mais sans rejeter tout en bloc, parce qu’un parti pris tranché ne peut que nous aveugler et être dicté par la peur ou l’idéologie. Je comprends vos critiques des médias occidentaux mais j’espère que vous vous rendez compte que ce site est tout aussi partial et ne prend en compte que les témoignages qui l’intéressent: manifestants de l’opposition violents, complots armés contre le pouvoir en place etc. Nous qui connaissons la Syrie, nous savons tous de quoi le régime Assad et les services secrets syriens sont capables en cas de désaccord (notamment jusqu’à présent dans le cas des défenseurs des droits humains ou des frères musulmans): il est clair que la stabilité a toujours été un objectif à atteindre à tout prix, qu’il faille emprisonner ou torturer pour cela n’a jamais été un problème.
        Nous nous doutons également que des manifestants qui se font torturer ou dont les proches se font tuer peuvent vouloir prendre les armes ou qu’un mouvement pacifique peut être instrumentalisé par toutes sortes de personnes aux mauvaises intentions.
        Une chose est sûre: le fait que Damas reste une ville relativement calme n’est pas sans rapport avec la peur des gens de se faire réprimer de la plus dure des manières s’ils manifestent. Les mukharabat aussi bien que les manifestants pacifiques existent, et ceux qui souffrent le plus de la situation à l’heure actuelle, ce sont bien une partie de vos concitoyens syriens qui ne sont pas au pouvoir!

        • Cécilia dit :

          lovedamascus, j’ai bien regardé les vidéos plusieurs fois dans leur totalité avant même votre message. D’ailleurs l’article d’infosyrie n’est qu’une analyse de la mission d’ARTE.

          Cependant, je vais vous faire un petit résumé de mes observations:

          1. 1re vidéo:
          – rue calme, aucune barrage ni contrôle policier.
          – aucun tire.
          – les manifestants sont des hommes et des enfants mais aucune FEMME?
          Tout cela en contradiction avec le titre et les propos laissant entendre que le pays est à feu et à sang avec une répression sans limites. D’ailleurs, jamais on voit un policier tirer directement et tuer un manifestant!

          2. 2ème vidéo:
          -Walid Ubeid est un hystérique dans ses manières et ses propos incohérents.
          – manifestation sans voir JAMAIS une intervention policière. Donc, on laisse faire

          Dans un pays en insurrection, on ne laisse pas les gens circuler aussi librement sans contrôle comme dans ces vidéos ou comme les journalistes dans leur voiture.

          Ce qui me gêne se sont les barbus, ses slogans violents qui n’ont rien à avoir avec des demandes de réformes ou démocratie.
          En plus, c’est totalement faux ce que vous dites à propos de Damas qui n’est pas la seule à être calme. Oubliez-vous Alep et sa population présentant 40% de la population syrienne?
          Oubliez-vous Tartous qui est restée à l’écart?
          Cela pour ne pas citer que ces trois villes.

          Les contestations sont limitées géographiquement et sont minoritaires à savoir qu’elles touchent certaines classes sociales ou religieuses. Il ne faut pas se voiler la face.
          Toutefois, je pense qu’il y a bien un malaise en Syrie, il y a comme partout des inégalités sociales et de pauvreté mais attention, il faut placer la Syrie dans son contexte historique et géopolitique du Proche-Orient. Les défauts de la Syrie sont communs à nos voisins arabes avec une exception méritoire, une laïcité, éducation et santé gratuite, zéro dette, autosatisfaction, sécurité…

          Les réformes sont en routes, multipartisme, une nouvelle constitution. Il est même question d’annuler l’article 8.
          La rue fait toujours confiance au gouvernement qui reste solide:
          Aucune démission même à l’étranger.
          Armée fidèle (très peu de désertion qui est normal même dans le temps normal)
          popularité de Bachar est incontestable (manif des millions à Damas et Alep).
          Aucune pouvoir peut maintenir si le peuple ne veut pas de lui.

          Il faut lire et regarder autre chose que les média français ou al-Jazeera, comparer et lire ce que ces loups préparent pour la Syrie.
          Ce n’est pas Bachar qui est visé ou le régime, c’est toute l’alliance avec l’Iran et Hezbollah qu’ils veulent casser pour le bien d’Israël.
          On cherche à affaiblir la Syrie comme l’Irak. C’est un plan préparé depuis des années pour un nouveau proche-orient et avance doucement mais sûrement. Si vous voulez, un nouveau Sykes-Picot (accords signés en 1916 entre la France et le GB pour le partage de la Grandes Syrie et l’Irak après la chute des Ottomans et malgré la promesse faite au Chérif de la Mecque pour donner l’indépendance après le départ des Turcs)

          Je pense que vous serez d’accord avec moi que l’Occident n’a rien à cirer pour la liberté ou le bien être des Syrien. C’est une question d’intérêt pas plus.

          Bien à vous

  13. Voyageur_Eternel dit :

    Chers tous,

    Je suis un amoureux de la Syrie, totalement apolitique, je m y suis rendu 6 fois, la dernière fois en 2009. J’ai beaucoup d’amis la bas, précisément à Damas… Je me rends prochainement au Liban et aimerais de là passer quelques jours en leur compagnie dans la ville des Omeyades. Il m’ont confirmé que la vie à Damas est on ne peut plus normale. J’ai une question, peut être bête, mais une seule : compte tenu des prises de position de la france et de l’union europeenne par rapport aux evenements qui ont secoué la Syrie, ai-je à craindre d’être interrogé voire refoulé à la frontière terrestre syrienne? Car aprés ce tapage médiatique, rares doivent être les gens qui se rendent en Syrie sauf raisons professionnelles ou familiales (comme Nicolas)… Donc je me demande si ca peut paraitre suspect de venir en tant que touriste francais en mode « sac à dos »… Merci pour votre aide

    • Hadi dit :

      Salut Voyageur
      Non je ne pense pas que tu ai a t’inquieter.
      Au contraire, les syriens auront a coeur de te montrer que ce que l’on racont ici est faux et je suis persuader que tu sera tres bien reçu

    • Cécilia dit :

      Bonjour monsieur le voyageur,

      Vous avez raison, en Syrie il y a beaucoup de choses à voir.
      La vie n’est pas chère, les gens sont généreux et accueillants.
      On mange très bien là-bas, des souvenirs à acheter, pensez surtout à savon d’Alep.

      Le billet sur Syrien Air est à moins de 400£.
      Vous pouvez obtenir le visa sur place à l’aéroport.
      Vous pouvez facilement trouver des gens parler anglais et beaucoup moins français.

      Bon voyage!

      • Cécilia dit :

        J’ai oublié de vous parler de la glace chez Bikdach, une délice, à Souk al-hamidyyeh à Damas et de Halaweh avec de fromage à Hama sans oublier les spécialités d’Alep.

  14. Hadi dit :

    Pour les amoureux de Damas, de la Syrie allez sur le groupe facebook كل شي عن الشام All About Damascus
    Tres belles photos qui font voyager

  15. lHDDT dit :

    Le Routard disait « .. Syrie, le pays le plus calme .. »

    Mon fils est été deux ans à apprendre l’arabe à Damas, je l’ai aidé à s’installer (3 mois en 2009)

    La vie y est on ne peu plus calme – sauf place Bab Touma où c’est un bord*l folklo le matin entre les taxis et les piétons qui essayent de traverser !

    Devant les Omeyyades, on voit souvent passer une ou deux femmes voilées – occidentales – ce sont des cornettes, de religieuses chrétiennes !! Il y a de nombreuses églises chrétiennes dans Damas, des vestiges chrétiens (comme en Jordanie)..

    La secrétaire particulière du président BAA, « Colette » est chrétienne protestante.

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