14 novembre 2011
A quelque chose, malheur est bon : la décision de la Ligue arabe de suspendre la Syrie a permis aux téléspectateurs français d’apprendre que Bachar al-Assad pouvait compter sur le soutien d’une partie des Syriens et que, d’une manière générale, la situation en Syrie n’était comparable en rien à celle de [...]