10 janvier 2012
Passent les mois, Recep Tayyip Erdogan persévère dans ce qu'il faut bien appeler son obsession - sa névrose ? - anti-syrienne. Lundi 9 janvier, lors d'une conférence de presse télévisée, le Premier ministre turc s'est inquiété à voix haute du risque de guerre civile, religieuse et même "raciale" qui pèserait [...]