12 mars 2012
A l'issue de son deuxième entretien avec Bachar al-Assad et de son séjour de 48 heures à Damas, Kofi Annan s'est donc déclaré "optimiste". Il est vrai que c'est un optimisme relatif : "La situation est si mauvaise et si dangereuse qu'aucun de nous ne peut se permettre d'échouer", a-t-il [...]